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L'Echo du solaire
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11/03/200918/03/200925/03/2009
INDUSTRIALISATION : 6 article(s).
PV Alliance, un consortium pour passer de la recherche à l'industrialisation

Silicium>Autretechno>Panneaux >Matériaux>France>Grands programmes>Investissements>Industrialisation>R&D
01-04-2009 15:59:06 :
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br> Créée il y a 18 mois en partenariat entre Photowatt (40%), le CEA-Liten (20%) et EDF Energies Réparties (40%), PV Alliance est une jeune pousse qui a pour vocation d'accélérer le processus d'innovation dans la fabrication de cellules solaires ; elle coordonne le programme de R&D intitulé Solar Nano Crystal (budget de 129 M€ sur 5 ans en partenariat avec Oséo) et 7 programmes complémentaires (budget de 94 M€ sur 5 ans en partenariat avec les collectivités locales, le Conseil Général de l'Isère et la Région Rhône-Alpes).

Le projet Solar Nano Crystal regroupe 7 partenaires couvrant toute la chaîne de valeur depuis la production de silicium jusqu'à la fabrication de panneaux photovoltaïques : Ferropem, Silicium de Provence, Emix, CNRS, CEA-Liten, Appolon Solar et PV Alliance. Il a deux objectifs : une filière low-cost pour la production de cellules solaires sur silicium métallurgique (procédé Photosil) avec un rendement de conversion de 16% ; et une filière à très haut rendement de conversion de 22% sur du silicium polycristallin.

Une unité de démonstration, dite Lab-Fab, devrait être opérationnelle à partir de fin 2009, avec une capacité annuelle de 25 MW pour tester et valider à une échelle industrielle les recherches issues des laboratoires de R&D et de l'Institut national de l'énergie solaire (Ines). Le but consistera ensuite à créer deux usines ayant chacune une capacité de production de 100MW sous 5 ans, pour un investissement total d'environ 400 M€.

La mise en place de cette filière comprendra la création de 400 emplois industriels à terme dans les deux usines, outre la création de 50 emplois de chercheurs à l'Ines et de 160 emplois dans le Lab-Fab.

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La filière couches minces CdTe semble aujourd'hui la plus compétitive

Couches minces>Panneaux >Cellules >Technologies>Industrialisation
31-03-2009 15:46:11 :

A l'horizon 2015, le coût système d''une installation photovoltaïque pourrait être sensiblement identique dans les deux filières, silicium et couches minces, à savoir inférieur à 2,50 $/W ; au niveau panneau photovoltaïque, la filière silicium resterait un peu plus coûteuse mais pour un rendement de conversion toujours supérieur de quelques pourcents aux couches minces.

Dans les cellules solaires couches minces (en silicium amorphe, CIGS ou CdTe), la réduction des coûts est obtenue par la diminution d'un facteur 100, au moins, de la quantité de matériaux actifs par rapport à la filière silicium ; les coûts de fabrication, sur des lignes de production clés en mains, et les investissements nécessaires sont plus faibles mais le rendement de conversion est aussi moindre de 30 à 50% comparé aux cellules silicium.

La filière couches minces est toutefois en forte croissance. Sa part de marché est passée de 10% du marché total en 2007 à 18% en 2008. Les procédés permettent un dépôt rapide et automatisable (40 s/m2), sur une grande variété de substrats de toutes tailles, et donc une productivité élevée.

La technologie CdTe affiche un rendement de conversion des modules photovoltaïques de l'ordre de 10% (contre 6 à 8% pour le silicium amorphe) avec un coût inférieur à 1 $/W crête chez First Solar. Ce dernier vise à atteindre un coût système de 2,5 $/W crête avant 2012, contre 3,4 $/W crête aujourd'hui. Sa capacité de production devrait atteindre 1 GW crête/an d'ici fin 2009.

La technologie CIS ou CIGS, à base de Cuivre, Indium (Gallium) et Sélénium, présenterait des rendements de conversion légèrement supérieurs, jusqu'à 14%. Une trentaine d'entreprises travaillent sur ce secteur, avec une capacité de production cumulée prévisionnelle de l'ordre de 2 à 3 GW crête/an d'ici 2012. Le coût de production des modules photovoltaïques pourrait être de 0,8 $/W crête d'ici 2015.

Evolution des coûts des deux principales technologies



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La production de panneaux solaires démarre chez Sillia Energie à Lannion

Panneaux >France>Investissements>Industrialisation
24-03-2009 18:29:52 :

Le groupe Sofie, holding dont dépend Elvia PCB, vient de redonner un nouveau souffle à l'ancienne usine de circuits imprimés de Sagem à Lannion, avec la création de Sillia Energie, société qui fabriquera des panneaux photovoltaïques à base de cellules solaires en silicium cristallin de Q-Cells sur ce site à partir de juin prochain ; l’investissement s’élève à 4 millions d’euros, en première phase, pour une capacité annuelle de production de 20 à 25 MW crête, avec 50 employés.

« C’est à la fois une diversification pour Elvia PCB et une véritable reconversion pour le site avec l’arrêt total de la production de circuits imprimés au profit du photovoltaïque. A terme, il ne restera qu’une activité de service et d’expertise spécifique pour le circuit imprimé  », nous a confirmé Bruno Cassin, pd-g d’Elvia PCB qui va piloter Sillia Energie. L’usine de Lannion a été équipée d’une ligne de production entièrement automatique élaborée en partenariat avec Schmid (également fournisseur d’équipements pour le circuit imprimé).

Pour la création de Sillia Energie, le groupe Sofie, qui détient 53% des parts de la nouvelle entité, s’est assuré du soutien des deux fonds d’investissements IPO (groupe CIC) et Sodero (Caisse d’Epargne). Sillia Energie a un capital de 4,3 millions d’euros et 5 millions d’euros de fonds propres. Une deuxième phase d’investissements est prévue pour doubler la capacité annuelle de production à l’horizon 2010-2011. Sa date de réalisation dépendra de la demande et de l’évolution du marché du photovoltaïque.

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Rendement de 8,7% pour une cellule solaire en silicium couche mince

Couches minces>Cellules >Etats Unis>Investissements>Industrialisation
24-03-2009 18:13:32 :

Sencera, un fabricant américain de cellules solaires couches minces en silicium amorphe vient d'atteindre un rendement de conversion de 8,7% pour une cellule solaire simple jonction, une performance de laboratoire qui a été vérifiée par l'Institut de conversion d'énergie de l'université du Delaware ; partant, la société a réussi à obtenir les derniers 5,2 M$ d'un investissement de 15,6 M$ du Californien Quercus Trust, ce qui devrait lui permettre de transformer son actuelle unité de R&D de 1 MW en une entité de production d'une capacité annuelle de 35 MW.

La société, créée en 2003 initialement comme fournisseur d'équipements PECVD pour l'industrie du semiconducteur, s'est tournée vers le solaire en 2006. Elle a conçu et réalisé ses propres équipements pour la fabrication de cellules solaires. La production de volume de panneaux solaires de 106 W, réalisés avec des cellules de 7% de rendement de conversion, devrait démarrer à l'été 2009 sur son site de Charlotte (Caroline du Nord).

Le prochain objectif de Sencera consistera à développer une cellule solaire double jonction présentant un rendement de conversion de 11%, ce qui permettra de passer à une capacité annuelle de production de 50 MW sans équipements additionnels.

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First Solar annonce un coût de production inférieur à 1 dollar par Watt

Couches minces>Panneaux >Etats Unis>Industrialisation
18-03-2009 18:52:26 :

L'Américain First Solar vient de battre un record historique : la société a en effet annoncé que son coût de production de modules solaires est passé en-dessous de la barre du dollar par Watt au quatrième trimestre 2008, pour atteindre plus exactement 0,98$/W ; l'électricité solaire se rapproche ainsi davantage de l'objectif de parité de coût avec les énergies fossiles.

Selon Mike Ahearn, CEO de First Solar, aussi bien la technologie que le procédé de fabrication de la société recèleraient suffisamment de potentiel pour faire encore baisser les coûts de production. Les modules solaires de la société sont réalisés par déposition de couches minces de CdTe avec des procédés issus de l'industrie du semiconducteur.

Créé en 1999 et situé à Tempé (Arizona), First Solar est aujourd'hui le plus grand fabricant de modules à cellules solaires couches minces. La société a démarré la production de modules solaires en 2002, dans une première usine qui est devenue pleinement opérationnelle en 2004. Depuis, First Solar a augmenté sa capacité annuelle de production de 2500%, pour atteindre 735 MW à fin 2008. Cette dernière devrait dépasser le 1 GW d'ici fin 2009, avec la mise en service de lignes de production actuellement en construction. Le coût de production de modules solaires a, lui, baissé de 3 $/W à moins de 1$/W depuis 2004. Au troisième trimestre 2008, la société avait déjà réussi à diminuer ses coûts à 1,08 $/W.

Parallèlement, la société vient de signer un accord avec son compatriote OptiSolar en vue d'acquérir la filière de projets d'installations solaires de ce dernier pour environ 400 millions de dollars. Cette acquisition lui apporte notamment un projet de centrale solaire de 550 MW avec la société PG&E en Californie, plusieurs projets additionnels totalisant 1300 MW en cours de négociation avec des fournisseurs d'énergie des états de l'ouest américain, ainsi que des droits fonciers sur environ 550 kilomètres carrés de terres susceptibles d'héberger jusqu'à 19 GW de production photovoltaïque.

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Grenoble prépare un « Minatec de l’énergie »

Cellules >Energies renouvelables>France>Industrialisation
18-03-2009 09:58:36 :

Le projet Presqu'île scientifique de Grenoble devrait accueillir, entre autres, un centre d’excellence dédié aux nouvelles technologies de l'énergie, un « Minatec de l’énergie » dont l’un des rôles serait de soutenir la production de capteurs solaires, nous apprend le Dauphiné Libéré qui reprend ainsi les termes de Jean Therme, président du CEA ; ce centre de 100 000 m² devrait, à terme, abriter un effectif de 3 000 chercheurs.

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