L'essentiel Mardi 07 Février @ VIPress.net

L'Ademe va proposer son propre « scénario énergie » à l'horizon 2030 ou 2050

Solairethermique>Energies renouvelables>France>Politique/Réglementation>Grands programmes
07/02/2012 08:33:14 :


Sous l'impulsion de François Loos, nommé à la présidence de l'Ademe le 21 décembre dernier, l'Agence de développement et de la maîtrise de l'énergie devrait évoluer au-delà de ses rôles actuels –rôle d'expert, d'évaluation, de benchmarking, de consultation...– pour être plus une force de proposition. Des actions seront menées pour définir un « scénario énergie », pour développer l'efficacité énergétique et le solaire thermique, et aussi les technologies photovoltaïques du futur. Explications de François Loos …

Le rôle de l'Ademe sera-t-il appelé à changer dans le contexte actuel des discussions sur la politique énergétique ?
L'essentiel du rôle de l'Ademe restera ce qu'il était jusqu'ici, en appui à la politique publique de l'énergie, avec ses missions d'information et d'expertise sur les évolutions technologiques, d'évaluation en amont, d'études, de consultation, de conseil, de mise en œuvre des appels à manifestation d'intérêt, et d'aides à l'investissement, comme par exemple le Fonds Chaleur. Ce qui sera plus nouveau, ce sera d'être une vraie force de proposition. L'Ademe l'a été ponctuellement jusqu'ici. Ainsi, l'an passé, l'agence a rempli ses missions d'information et de benchmarking, et apporté ses idées lors de la table ronde sur l'efficacité énergétique. Mais elle n'a pas toujours été aussi active dans tous les domaines. Mon souhait est de généraliser ce type d'approche, par exemple aux véhicules électriques, à l'électro-mobilité, au photovoltaïque, à l'efficacité énergétique ... Nous voulons construire un « scénario énergie » estampillé Ademe dès cette année, en 2012, et définir notre vision de l'après-Grenelle, par exemple à l'horizon 2030 ou 2050. Une vision qui devra être la plus pluraliste possible, et qui comportera peut-être même plusieurs hypothèses de développement aux plans qualitatif et quantitatif.

Quelles actions doivent être intensifiées pour éveiller plus fortement l'éco-conscience en France ?
L'une des priorités portera sur l'efficacité énergétique. Le Grenelle Environnement a porté le gros de ses efforts sur l'habitat neuf. Comme il a été rappelé lors de la table ronde sur l'efficacité énergétique, tout ou presque reste à faire en ce qui concerne la rénovation dans l'habitat existant. Dans le cadre du Grenelle, le Plan Bâtiment a posé les jalons. Au-delà, si des incitations fiscales ne suffisent pas, il faut aujourd'hui se poser la question sur la nécessité de mécanismes contraignants pour améliorer ce parc en France. Avant tout, il importe de sensibiliser le public. Des études doivent être lancées pour déterminer les approches possibles. On peut imaginer, par exemple, un bonus/malus sur les transactions immobilières et/ou lors des relocations.

La deuxième priorité sera le solaire thermique. Nous en sommes aujourd'hui à un vrai constat d'échec. Dans ce domaine, les bâtiments sont peu équipés en France, surtout si l'on compare à l'Autriche ou à l'Allemagne. La filière industrielle n'est pas compétitive, et le marché français est non seulement trop faible mais, en plus, il recule puisqu'il semble être retombé en-dessous du niveau de 2006. Même constat au plan des emplois. Sur 95000 emplois au total dans les énergies renouvelables, le solaire thermique ne contribue qu'avec 3000 ou 4000 emplois. Nous lancerons une action en 2012 avec une étude sur la filière industrielle française, afin d'identifier les raisons du surcoûts des équipements pour le solaire thermique sur l'Hexagone et de déterminer des solutions.

Et pour le photovoltaïque ?
Le photovoltaïque se développe dans le monde entier. Il serait très dommage que la France n'y ait pas sa place au plan industriel. La filière photovoltaïque française existe aujourd'hui dans les technologies conventionnelles, et elle a clairement de gros potentiels. D'importants investissements ont été réalisés, de la part de grands groupes aussi. Notre rôle n'est pas d'apporter des aides aux filières existantes, mais de les soutenir et de les aider à se développer par la recherche et l'innovation. Notre responsabilité est tournée vers l'avenir. Elle consiste à se concentrer sur la phase d'après, à soutenir les filières photovoltaïques et les industriels au travers des investissements d'avenir, à cibler les technologies les plus prometteuses, à déceler les besoins d'innovation pour peaufiner de nouvelles technologies, pour atteindre de plus hauts rendements de conversion. L'appel à manifestation d'intérêt lancé l'an passé montre qu'il y a beaucoup de projets et un vrai dynamisme.
Le Grenelle Environnement est appelé à évoluer et à se doter d'un nouveau volet. Ce mode de concertation signale un grand changement par rapport au passé, en associant tous les acteurs à la prise de décision même s'il n'y a pas toujours consensus. Typiquement, la programmation pluriannuelle des investissements, ou PPI, d'il y a 5 ans était assez technique et confidentielle. Il en sera tout autrement pour le mode d'élaboration de la prochaine PPI qui nécessitera une consultation et une concertation plus forte. Il y aura de grands débats, techniques, publics,... à la mode du Grenelle.

Le marché français du solaire thermique n'atteindra pas ses objectifs en 2012 !

Solairethermique>Conjoncture>France
07/02/2012 06:34:11 :


En 2011, le marché du solaire thermique a baissé de 2% en France métropolitaine en surface installée par rapport à l'année précédente, selon l'association professionnelle Enerplan. La progression de 30% du solaire collectif a compensé la chute des installations résidentielles individuelles, mais seulement en partie. Avec une surface totale de capteurs solaires installés l'an passé de près de 251000 m2 (soit 179,2 MWth) en métropole, contre 256000 m2 en 2010, l'objectif de 1 million de m2 installés au total en 2012, pourtant inscrit dans la Programmation pluriannuelle d’investissement (PPI) pour la chaleur renouvelable, ne pourra pas être atteint …

Les installations d’eau chaude solaire collectives enregistrent une croissance de 30 %, à 103800 m2 de capteurs solaires, après 79300 m2 en 2010.

Le marché du chauffe-eau solaire individuel et du système solaire combiné a, lui, poursuivi sa pente baissière entamée en 2009, avec une baisse de 15 % et 24% respectivement en terme de surfaces installées pour ces deux applications. Selon les statistiques fournies par les adhérents d'Enerplan, le marché du solaire thermique métropolitain représenterait ainsi moins de 31800 CESI (chauffe-eau solaires individuels) et moins de 1800 SSC en 2011 (systèmes solaires combinés), contre respectivement 33800 et 2300 en 2010.

Le solaire thermique, un atout pour respecter la RT 2012 et plus
Pourtant, une étude comparative, effectuée par le bureau d’étude Pouget Consultants pour le compte d'Enerplan, qui devait permettre de positionner les solutions en solaire thermique et photovoltaïque dans la nouvelle réglementation thermique pour le bâtiment neuf (RT 2012) par rapport aux technologies concurrentes, a démontré que le solaire thermique représentait la meilleure approche pour répondre à l’exigence réglementaire de 50 kWh d’énergie primaire/m² (Bâtiment Basse Consommation – BBC - exigence RT2012).



Les résultats indiquent en effet que, dans une maison individuelle neuve, le système solaire combiné (avec appoint gaz ou fioul pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire) constitue la solution la plus performante pour les postes « eau chaude et chauffage » selon le code de calcul de la RT 2012. La seconde solution est le chauffe-eau solaire individuel associé à une chaudière bois pour le chauffage et l’appoint d’eau chaude sanitaire. La troisième est le chauffe-eau solaire individuel « compact » couplé à une chaudière à condensation au gaz, pour le chauffage et l’appoint d’eau chaude sanitaire.

Avec 1 à 3 kW de solaire photovoltaïque en plus, cette maison neuve BBC deviendrait une maison à énergie positive.

« De quoi construire dès 2012 des maisons solaires actives conformes à l’exigence énergétique 2020 », conclut Enerplan.

L'Allemagne prépare la fin des tarifs d'achat

Centralesphotovoltaïques>Allemagne>Politique/Réglementation
07/02/2012 06:36:27 :


La discussion sur le futur cadre réglementaire du développement du photovoltaïque continue d'être mouvementée outre-Rhin. Le ministre de l'industrie, Philipp Rösler, vient maintenant de dévoiler un projet de loi prévoyant l'arrêt complet des aides et un objectif limitant la puissance totale installée à 33,3 GW en 2020. Son argument : la loi actuelle instituant automatiquement une baisse des tarifs d'achat en fonction du volume installé sur la base d'un plafonnement variable de 2,5 à 3,5 GW a échoué puisque le plafond a été trop largement dépassé ces deux dernières années. Selon d'autres sources, la diminution des tarifs d'achat prévue au 1er juillet prochain pourrait être avancée au 1er avril …

En clair, selon le ministère allemand de l'industrie, le développement du photovoltaïque coûte trop cher, et la puissance annuelle installée devrait être limitée à 900-1000 MW par an jusqu'en 2020. Il semble oublier que le plan national d'action de son gouvernement visait une puissance PV installée de 52 GW au total en 2020.

Selon une étude du syndicat professionnel de l'industrie bavaroise (VBW), le développement prévu des énergies renouvelables, à une part de 35% du bouquet énergétique en 2020 et de 50% en 2030, entraînerait des coûts de 335 milliards d'euros à l'horizon 2030, ce qui entraînerait une hausse de la « EEG-Umlage » (l'équivalent de notre CSPE) jusqu'à 8 c€/kWh. Cette contribution s'élevait à 0,54 c€/kWh en 2004, et se situe aujourd'hui à 3,59 c€/kWh. Le VBW exige, lui, un retour à 2 c€/MWh, au moins pour les clients industriels.

Le ministre de l'environnement, Norbert Röttgen, préconise, lui, plusieurs baisses des tarifs d'achat en cours d'année afin de réduire le volume installé. Aucune entente n'est en vue pour l'instant. A suivre …

Encres conductrices : PV Nanocell promet une réduction du coût des cellules solaires de 0,50 $/W

Silicium>Cellules >Europe>Stratégie>Industrialisation>R&D
07/02/2012 07:15:29 :


Créée fin 2009, la jeune pousse israélienne PV Nanocell s'est fixé pour objectif de réduire le coût de production des cellules solaires en faisant appel à des matériaux et technologies de rupture pour la métallisation, à savoir à des encres conductrices à nanoparticules et au jet d'encre. « Avec nos développements, nous visons à devenir un leader autant du point de vue de la qualité que des coûts, avec l'objectif de réduire de 0,50 $/W le coût des cellules solaires quasi-immédiatement », nous a confié Fernando de la Vega, CEO et fondateur de PV Nanocell. Ses encres sont actuellement en cours de qualification …



« Nous avons choisi de nous concentrer sur le marché des cellules solaires en silicium, soit un marché que nous estimons à 1,2 milliard de dollars en 2015. Dans le solaire, la concurrence accentue la pression pour diminuer les coûts de production, et le procédé de métallisation par jet d'encre est la seule technologie majeure à permettre aujourd'hui des réductions de coûts rapides et significatives. En outre, avec l'approche de la parité réseau, la croissance du marché du solaire ne dépend plus seulement des aides et autres subventions. Avec nos encres à nanoparticules d'argent, nous nous considérons comme un « facilitateur » pour atteindre encore plus vite la parité réseau », précise M. de la Vega.

PV Nanocell chiffre la réduction des coûts de production possibles avec le procédé de métallisation par jet d'encre entre 0,20 et 0,30 c€/W. S'y ajoute la possibilité de travailler sur des tranches de silicium plus minces qu'avec le procédé de sérigraphie, ce qui entraîne une réduction supplémentaire de l'ordre de 0,25 c€/W.

Après un démarrage des ventes d'une première génération d'encres à dispersion en petit volume en 2010, la société située à Migdal Ha’Emek, dans le Nord du pays, compte finaliser rapidement la qualification des encres à nanoparticules d'argent afin de lancer la commercialisation à grande échelle courant 2012. Des encres à nanoparticules de cuivre, encore moins coûteuses (le rapport de prix entre l'argent et le cuivre est d'environ 100 aujourd'hui), sont actuellement en développement et se profilent comme une étape ultérieure de réduction des prix à l'horizon 2013-2014.

PV Nanocell travaille en étroite coopération avec des fabricants d'équipements mais uniquement sur le procédé de dépôt par jet d'encre et non sur les machines. La société a aussi un partenariat avec l'Institut Fraunhofer IKTS (Technologies et systèmes céramiques) de Dresde, en Allemagne. En vue de l'industrialisation à grande échelle, ses travaux portent actuellement sur l'optimisation du process de fabrication des encres afin de pouvoir augmenter rapidement ses volumes de production. Ses ventes dépendront toutefois aussi de la montée en puissance des ventes d'équipements de dépôt par jet d'encre.

La société s'attaque à un marché largement dominé par l'Américain Cabot. Elle vise un chiffre d'affaires de 30 M$ avec la vente de quelque 20 tonnes d'encres l'an prochain, puis 100 M$ avec 90 tonnes en 2014 et 200 M$ avec 200 tonnes en 2015.

Après avoir obtenu un capital d'amorçage de 1 M$ de Terra Venture Partners ainsi que des aides de Bruxelles et du ministère israélien de l'industrie pour un montant total de 340000 $, PV Nanocell est actuellement en train de lever 3,5 M$ de fonds pour financer son développement et l'industrialisation de ses encres. Plus de 1,3 M$ lui sont déjà acquis, après un tour préliminaire auprès de Terra Venture Partners et de l'énergéticien israélien IEC.

Second Solar Century : un nouvel acteur dans l'arène des panneaux PV en CdTe

Couches minces>Panneaux >Cellules >Allemagne>Créations>Technologies>Industrialisation
07/02/2012 07:16:50 :


Hartmut Schüning, Ralf Wendt et Stefan Wolf, trois anciens du groupe Q-Cells, se lancent dans une nouvelle aventure solaire avec la création de Second Solar Century, qui a pour vocation le développement d'une technologie innovante de fabrication et d'assemblage de cellules solaires et panneaux photovoltaïques en CdTe. Créée en 2010 à Halle, une ville de Saxe-Anhalt (Allemagne) en plein dans la Solar Valley Mitteldeutschland, à un jet de pierre de Q-Cells, la jeune pousse commence seulement à dévoiler ses ambitions : devenir le leader incontesté au plan des coûts par comparaison à toutes les technologies PV, et donc aussi détrôner le champion du CdTe, First Solar

Apparemment, vu la concurrence annoncée face à First Solar, le choix du nom de la société, Second Solar Century, ne doit pas être tout à fait anodin ...

Peu de détails ont été communiqués jusqu'ici. Dans un article paru dans Mitteldeutsche Zeitung, il est question d'un coût de production de 50 c€W, et d'un investissement en millions d'euros « à deux chiffres » (ce qui est particulièrement vague et peut signifier un montant quelconque entre 10 et 99 millions d'euros). Parmi les investisseurs pour le capital d'amorçage figurent deux capitalrisqueurs régionaux, Fraunhofer Venture et IBG Beteiligungsgesellschaft Sachsen-Anhalt. La startup compte se doter d'une usine de production de quelque 25 MW d'ici la mi-2014.

Les arguments en faveur de la technologie CdTe sont nombreux. Second Solar Century indique ainsi sur son site Web : le faible coût de production, le retour énergétique rapide, la production d'électricité même en lumière diffuse et sans dégradation à haute température. Divers études auraient en outre montré que le matériau CdTe, tel qu'il est utilisé dans les panneaux PV, c'est-à-dire hermétiquement encapsulé dans du verre, ne présenterait aucun risque.

Hartmut Schüning et Ralf Wendt sont co-fondateurs de Second Solar Century. Le premier a été membre du directoire et responsable financier de Q-Cells jusqu'à l'été 2009, tandis que le deuxième a été chef de projet dans les couches minces de Q-Cells puis directeur technique de sa filiale Calyxo.

Avant-première Interclima + elec 2012 : nouveautés produits...

Panneaux >Conversion >Autres composants>France
07/02/2012 07:13:17 :


L'édition 2012 du salon Interclima + elec ouvre ses portes cette semaine, du 7 au 9 février, au Parc des expositions, Porte de Versailles, à Paris. Cette manifestation dédiée à l'efficacité énergétique dans les bâtiments, avec 638 exposants au total cette année (et 85000 visiteurs attendus), comporte, pour la première fois, un secteur marqué PV Energy, dédié au photovoltaïque (voir [L]http://article.lechodusolaire.fr/?id=tvtmhfhs3101mqfy|notre article[/L]). Toutes les informations concernant l'exposition et les conférences se trouvent sur le site d'[L]http://www.interclimaelec.com/|Interclima + elec[/L]. Certains exposants ayant déjà levé le voile sur leur stand, vous trouverez ci-après un bref aperçu des nouveautés produits en solaire thermique et photovoltaïque…

Aleo Solar présente une nouvelle solution pour l’installation de modules photovoltaïques intégrés au bâti (IAB), issue d'un partenariat signé avec Gate Composite en vue de commercialiser des sous-structures innovantes adaptées à la gamme « aleo kit comfort_sol ». Avec ses profilés en aluminium, la sous-structure Gate Composite est adaptée à tous les types courants de charpente, en bois ou en acier, ainsi qu'à toute sorte de matériau de couverture. La gamme aleo kit comfort_sol est aussi résistante à des environnements salins ou riches en ammoniac. La société dévoile aussi un nouveau produit d’assurance (responsabilité civile, catastrophes naturelles, vol et perte des revenus solaires) qui sera disponible pour les projets résidentiels à compter de mars 2012. L’assurance est offerte pour la première année, sans aucune obligation de renouvellement pour le client.

Clipsol expose le capteur solaire Slimsol, le dernier né de sa gamme solaire thermique aisément intégrable en toiture en un temps record, grâce à un poids de seulement 16 kg, et à un système de type charnière avec un clipsage rapide, sans vis ni boulons, sur une légère structure de base à fixer sur tout type de charpente. Sa conception astucieuse sécurise le raccordement hydraulique. Disponible de 2,4 à 12 m2.

Conergy présente plusieurs nouveautés, notamment les panneaux photovoltaïques Conergy PowerPlus PCL (multicristallin) avec une face arrière en polymère noir et sans cadre, d’une épaisseur inférieure à 5 mm, disponibles de 185 à 200 W, les panneaux Conergy PowerPlus (monocristallin) disponibles de 240 à 255 W, et un kit pré-dimensionné et prêt à poser pour le marché résidentiel. Conergy exposera aussi sur son stand la maquette du procédé d'intégration simplifiée en toiture pour modules photovoltaïques Kogysun, développé par la société française Kogys.

De Dietrich propose des systsèmes multi-énergies, et notamment une option renouvelable avec ses nouveaux poêles Ebenis et Quadranis associés au système solaire Dietrisol Trio pour la production d'eau chaude sanitaire.

Siemens présente l'onduleur Sinvert PVM 20, compact, facile à mettre en œuvre, robuste, sans ventilation mécanique, de rendement élevé et régulier supérieur à 98%, destiné aux applications solaires thermiques dans des bâtiments industriels et tertiaires.

Solar PST propose un système solaire thermodynamique garantissant la production d'eau chaude sanitaire tout au long de l'année, de jour comme de nuit, en captant la chaleur ambiante du soleil, de la pluie et du vent, sans élément énergétique d'appui. Le système PST 250v est composé d'un panneau solaire de 8 kg qui s'installe sur diverses surfaces (toitures, façades, sols ou murs, avec des inclinaisons de 0º à 90º), d'un bloc thermodynamique et d'un accumulateur d'une capacité de 250 litres.

Sunways expose une nouvelle solution système complète très esthétique pour le photovoltaïque intégré au bâti pouvant servir à réaliser des toitures PV partielles ou complètes, avec des inclinaisons de 10 à 60°. Le panneau photovoltaïque Solar Modul SM 200L utilisé dans ce système est disponible dans des puissances jusqu'à 200 Wc. La famille EcoLine de Sunways inclut des panneaux PV avec des puissances jusqu'à 250 Wc grâce à des cellules solaires en silicium monocristallin, et jusqu'à 245 Wc en multicristallin. Sa gamme d'onduleurs couvrent les classes de puissances de 2,5 kW à 33 kW, avec un rendement pouvant atteindre 98%. Rappelons que LDK Solar possède 33% des parts de Sunways, acquis fin 2011 dans le cadre d'une augmentation de capital.

Sofath propose un chauffe-eau solaire individuel d’une capacité de 300 litres comprenant un capteur solaire plat (une plaque et des tubes métalliques noirs en guise d'absorbeur et un coffre vitré de 4 mm d'épaisseur qui retient la chaleur), un échangeur thermique avec des serpentins qui transportent les calories accumulées afin de chauffer l’eau, et une cuve en acier émaillé, équipée d’une anode en magnésium pour stocker l’eau. Le chauffe-eau solaire de la gamme Auria est équipé d’une résistance électrique. Un régulateur intégré permet au système de s’adapter au degré d’ensoleillement.

SMA France, leader dans les onduleurs solaires sur le marché français, expose notamment son micro-onduleur Sunny Boy 240, et organise le 9 février 2012, de 10h00 à 10h45, une conférence sur le thème : comment intégrer le photovoltaïque à la RT 2012 ? Dans ce cadre, la société propose de partager son expérience dans le photovoltaïque en décryptant la place des énergies renouvelables et les avantages du PV dans le cadre de la RT2012. Elle présentera ses solutions pour dimensionner et surveiller une installation ainsi que différentes modélisations d'installations photovoltaïques adaptées.

Weidmüller, spécialiste de connectivité industrielle, présente notamment un nouveau parafoudre DC pour applications photovoltaïques et le système de surveillance universel des installations photovoltaïques Transclinic xi +.



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