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Le soleil ne brille plus pour Bosch Solar Energy

Silicium>Couches minces>Panneaux >Cellules >France>Allemagne>Reste du monde>Stratégie
25/03/2013 14:48:23 :

Cinq ans ! C'est ce qu'aura duré l'aventure de Bosch dans le photovoltaïque, une aventure commencée en juillet 2008 avec l'entrée au capital chez ErSol, fabricant de cellules solaires, et qui devrait lui coûter au final quelque 2,4 milliards d'euros. Le groupe allemand vient en effet d'annoncer le désengagement de toutes ses activités dans le secteur d'ici début 2014 hormis, dans un premier temps, la R&D dans les couches minces avec CISTech. « Nous avons analysé les progrès possibles aux plans des technologies, de la réduction des coûts et de l'orientation stratégique, sans aboutir à une perspective économique viable sur le long terme. Il est impossible de devenir compétitif », précise Volkmar Denner, président du directoire de Bosch depuis huit mois. Inaugurée il y a à peine un an, l'usine française d'assemblage de panneaux photovoltaïques de Bosch Solar Energy à Vénissieux devrait être vendue …
 
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Bosch Solar Energy, qui représente quelque 3000 employés dans le monde dont 230 en France, aura donc vécu ; l'arrêt de toutes ses activités de production – lingots de silicium, wafers, cellules solaires, panneaux photovoltaïques – ainsi que de marketing et de développement de projets est programmé. Les différentes entités, dont notamment l'usine de 160 MW de Vénissieux (cf. notre article), citée comme une reconversion exemplaire de l'automobile vers le solaire il y a un an, seront de préférence vendues auparavant ; à défaut, elles seront fermées au plus tard début 2014.

Le gouvernement français est immédiatement monté au créneau, par le biais d'un communiqué de presse d'Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, et Delphine Batho, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, qui « regrettent la décision du groupe allemand Bosch de céder son usine d'assemblage de panneaux photovoltaïques à Vénissieux (Rhône-Alpes), la plus grande en France de ce genre et l'une des plus modernes et performantes en Europe ... et affirment leur volonté de ne pas voir abandonné cet outil industriel de la transition énergétique. Il revient au groupe Bosch de trouver un repreneur qui continuera l'activité industrielle et la développera dans la durée. Le gouvernement travaillera étroitement avec la direction de l'entreprise et les organisations syndicales pour accompagner ce processus de mutation. »

A la quête d'une compétitivité qui se dérobe
La surcapacité de production au niveau mondial du fait des investissements massifs de fabricants chinois, entraînant une chute des prix irrésistible, resterait au final la principale cause du naufrage. Pour Volkmar Denner, « malgré une baisse significative des coûts de production en 2012, nous n'avons pu compenser la chute des prix de vente qui atteignait jusqu'à 40% par an. Dans le solaire, nos pertes se sont élevées à 1 milliard d'euros en 2012. Même un groupe comme nous ne peut tenir le coup longtemps dans de telles conditions. Les pertes totales se monteront à quelque 2,4 milliards d'euros, dont 1,6 milliard d'euros de dépréciations. » S'y ajouteront encore les coûts du désengagement. Des relocalisations au sein du groupe et des aides au reclassement dans d'autres entreprises seront notamment proposées aux employés impactés.

Bosch envisage également de vendre sa participation dans Aleo Solar, qu'il détient à plus de 90% après être entré à son capital en 2009. Seule rescapée du naufrage, la division de recherche et développement de CISTech restera au sein du groupe, au moins dans un premier temps. « Sa future orientation stratégique sera définie ultérieurement », précise Bosch dans un communiqué de presse. Entité active dans les technologies photovoltaïques à couches minces (CIS/CIGSSe, ou cuivre-indium-gallium-soufre-sélénium) anciennement appelée Johanna Solar, héritée lors de la reprise d'Aleo Solar qui a d'ailleurs vendu à Bosch ses quelques 9% de parts restantes en décembre dernier. Bosch Solar Energy avait déjà stoppé la production de produits PV à couches minces l'an passé. Sur les 3000 employés que compte Bosch Solar Energy, 850 se trouvent chez Aleo Solar et 150 chez CISTech.

Rappelons que Bosch avait également gelé dès début 2012 des projets d'expansion en Malaisie annoncés six mois plus tôt, qui prévoyaient un investissement de 500 M€ dans la création d'un site photovoltaïque intégré avec une capacité potentielle, à terme, de 640 MWc côté cellules solaires et 150 MWc côté panneaux PV. La production destinée en priorité au marché asiatique devait y démarrer fin 2013.

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Suntech Power dépose le bilan

Panneaux >Cellules >Chine>Stratégie>Restructurations
25/03/2013 17:35:16 :

La chute est dure pour Suntech Power, dont la principale filiale de production, Wuxi Suntech, située dans la ville de Wuxi, en Chine, a été poussée au dépôt de bilan par huit banques chinoises. Leader mondial il y a deux ans avec 7,8% de part de marché des panneaux photovoltaïques selon la société d'études IHS, le Chinois est à son tour victime de la consolidation dans le secteur du solaire, mais aussi de sa propre stratégie. Sa filiale manufacturière pourrait être reprise par le gouvernement local de Wuxi. En attendant, la production continue …



Les raisons de la chute de Suntech sont, selon IHS, nombreuses : dettes faramineuses, financements sans filet, investissements mal placés ... et une nouvelle volonté des banques chinoises de ne plus soutenir des entreprises contre vents et marées. A l'instar d'un groupe de fabricants pour l'essentiel asiatiques, le groupe a en effet continué à investir massivement dans sa capacité d'assemblage de panneaux PV en 2009, alors que le marché croulait déjà sous les stocks de panneaux PV et que les premiers signes d'une baisse des subventions étaient déjà visibles, mais aurait négligé de se doter de suffisamment de capacités de production en amont, dans les tranches de silicium

Malgré ses investissements, Suntech Power se serait ainsi retrouvé pris en tenailles entre la forte chute des prix des panneaux photovoltaïques, que le groupe avait d'ailleurs contribué à orchestrer, et la croissance des coûts pour les tranches de silicium nécessaires à sa stratégie de fabricant à la pointe de la technologie, estime IHS. De fait, Suntech était remonté non seulement dans le classement des fabricants de produits photovoltaïques en part de marché mais aussi au plan technologique, où il pouvait concurrencer les leaders du secteur. Cette stratégie l'a toutefois entraîné vers des pertes historiques de plus de 1 milliard de dollars sur l'exercice 2011, puis de 133 M$ au 1er trimestre 2012. Depuis, la firme n'a publié que des résultats provisoires en termes de livraisons et de chiffres d'affaires, mais pas de bilan financier trimestriel complet. Ses dernières prévisions estimaient entre 1,7 et 1,8 GW la puissance livrée sur l'exercice 2012, en baisse de 10 à 15% comparé à l'année précédente.

Au-delà, la plainte antidumping initiée par SolarWorld aux États-Unis et concrétisée par des taxes compensatoires de 35% en novembre 2012 a touché Suntech de plein fouet. La société avait par ailleurs annoncé en juillet dernier avoir été victime d'une fraude en Italie, en liaison avec le fonds d'investissements GSF Capital et l'un de ses agents (pour en savoir plus, cliquer ici), mais les différentes parties auraient conclu un accord hors tribunal.

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Bataille solaire Europe-Chine : où l'on joue à qui perd gagne ?

Panneaux >Europe>Chine>Politique/Réglementation>Stratégie
25/03/2013 06:41:13 :

L'an passé, les États-Unis décidaient de taxer les panneaux photovoltaïques importés de Chine, de 23,75 à 254,66% selon les sociétés. Parallèlement, Bruxelles a ouvert une enquête sur des pratiques de dumping des prix et des subventions illégales des fabricants chinois, et une taxation similaire se profile à l'horizon en Europe. Alors que le débat pour ou contre cette forme de protectionnisme devient passionnel (cf. notre article), des sociétés chinoises de droit privé ne bénéficiant pas d'aides financières illégales participent au déploiement du solaire sur le Vieux continent par le biais d'investissements, mais se retrouvent aussi, bien malgré elles, dans la tourmente. Nous avons demandé à Noémie Bourdin et Sébastien Prioux, respectivement directrice du marketing et directeur du développement de projets chez Upsolar, d'apporter leur éclairage …

Que pensez-vous des enquêtes actuelles à l'encontre des fabricants chinois du photovoltaïque?
La lutte contre la concurrence déloyale est saine et nécessaire, cela a déjà fait l’objet de nombreux débats dans d’autres secteurs comme les briquets BIC, par exemple. Mais, telle qu'elle est menée actuellement, l'enquête de l'UE n'est pas assez pointue, elle s'arrête à la couleur du drapeau. Stigmatiser les producteurs chinois avec des taxes identiques pour tous ne garantirait pas forcément une concurrence plus saine, et ne favoriserait ni le déploiement du photovoltaïque, ni la disponibilité de produits abordables et attrayants pour les consommateurs. Tirer sur des entreprises parce qu’elles sont chinoises aurait en outre un effet pervers entraînant une fuite des capitaux et des investissements, et donc aussi des destructions d’emplois. Il faudrait un raisonnement objectif pour aboutir à un système aussi efficace et juste que possible, avec une différentiation selon le lieu d'assemblage, le contenu ...

Les fabricants chinois de panneaux photovoltaïques ne sont pas tous logés à la même enseigne. Il y a d'une part quelques très grosses sociétés comme Suntech Power, détenues en tout ou partie par l'état et/ou subventionnées par le biais de financements de projets à l’export ou de lignes de crédits. Mais il y a aussi des sociétés privées, qui fonctionnent comme toute entreprise privée dans le monde. Une enquête devrait distinguer les sociétés subventionnées des autres, et analyser en profondeur aussi bien les activités des fabricants que leur fonctionnement et leur rôle sur les marchés où ils sont présents. Certains, comme nous, ont aussi une activité d’investissement en Europe et y financent des projets réalisés avec des sous-traitants locaux (installateurs, électriciens, etc.).

Quel est le modèle commercial d'Upsolar ?
La société holding Upsolar est basée à Hong Kong. Nous disposons d'un centre opérationnel et d'installations de test et de développement à Shanghai et, pour la production, nous faisons appel à la sous-traitance, principalement en Chine mais aussi au Portugal. Nous effectuons constamment des audits dans d'autres pays, et nos partenaires industriels peuvent varier. Nous achetons tous les composants et les acheminons vers les sous-traitants qui assemblent ensuite les panneaux PV selon notre cahier des charges. Le contrôle qualité est par contre effectué par nos soins. Nous avons fourni 60 MW à nos clients en 2008, et 226 MW en 2012 pour un chiffre d'affaires de 259 M$ en 2012. Nous employons directement 170 personnes dans le monde. La filiale historique européenne est à Paris avec un centre logistique doublé d'une plate-forme de services dans le sud de la France.

Nous sommes un acteur local en Europe, avec un investissement de quelque 15 M€, rien qu’en 2012, pour environ 10 MW de projets et des partenariats avec des sous-traitants français et européens pour la réalisation. En France, nous avons une activité projets depuis deux ans, et EDF, GDF Suez, JMB, par exemple, figurent parmi nos clients sur la partie vente de modules photovoltaïques. Nous préparons notamment un projet de 1,5 MW en toiture pour le prochain appel d'offres et nous rachetons aussi des projets « prêts à construire », par exemple en partenariat avec des projets lauréats des derniers appels d'offres en mal de financements.

Comment préparez-vous l'avenir ?
En Europe, le débat s'est essentiellement cristallisé autour d'une opposition entre les deux groupements EU ProSun et Afase, respectivement pour et contre des taxes douanières. EU ProSun utilise l’exemple américain en affirmant que le nombre de projets augmente plus fortement aux États-Unis depuis la mise en place des taxes à l’importation de produits chinois. Etablir un lien de causalité entre ces deux événements ne se justifie que partiellement puisque de nombreux projets réalisés fin 2012 et même encore actuellement sont toujours équipés de panneaux chinois importés juste avant l'imposition des taxes. Nous ne sommes pas autorisés à adhérer à l'Afase parce que nous sommes un acteur chinois.

Si l'UE décide d'imposer des taxes sans distinction pour tous les fabricants chinois, nous pourrions basculer vers des sous-traitants dans d'autres pays. Quand l'Italie a mis en place une bonification du tarif d'achat pour du contenu européen, nous avons commercialisé des panneaux PV dont les cellules solaires avaient été réalisées à partir de wafers de source allemande. Lorsque les États-Unis ont imposé des taxes douanières [NDLR : 30,66%] sur les panneaux PV intégrant des cellules solaires de fabrication chinoise, nous avons opté pour des cellules solaires de Taïwan. De plus, la majeure partie de nos composants n’est pas d'origine chinoise mais d'Europe, des États-Unis, du Japon, etc.

En France, nous vivons ce débat en tentant de prouver qu’il existe des sociétés privées d’actionnariat chinois qui contribuent au développement de la filière locale avec un fort attachement au développement du marché et des acteurs français, ainsi que d’une valeur ajoutée locale en France. Il s’agit pour nous d’un équilibre entre une activité de commercialisation de panneaux solaires et d’investissements sur des projets prêts à construire.

Rappel historique
L'Union européenne a lancé une enquête antidumping en septembre 2012 (voir notre article et le Journal officiel de l'UE ici), et pour subventions illégales en novembre 2012 (voir notre article et le Journal officiel de l'UE ici)

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L'Italie viserait 1 GW de puissance PV installée par an à la parité réseau d'ici 2020

CentralesPV>Italie>Politique/Réglementation
25/03/2013 21:57:28 :

Le ministère italien du développement économique vient de publier un projet de stratégie énergétique prévoyant l'installation de centrales photovoltaïques pour une puissance totale de 1 GW par an jusqu'en 2020, hors programmes d'aides et autres tarifs d'achat pour l'électricité produite. Ce projet s'inscrit dans un contexte de développement du photovoltaïque « à parité réseau » en Italie*, les aides au travers de tarifs d'achat arrivant prochainement en bout de course. Les mécanismes de support pour cette stratégie restent toutefois à éclaircir …

Le gouvernement italien compte stopper les contrats d'obligation d'achat dès qu'un volume d'aides de 6,7 milliards d'euros serait atteint. Le compteur se situe actuellement à 6,597 milliards d'euros.

L'Italie pourrait ainsi tirer 10% de sa consommation d'électricité du photovoltaïque en 2020, avec 8 TWh provenant des installations PV réalisées à parité réseau d'ici là et 3 TWh des installations réalisées depuis août 2012 dans le cadre du dernier programme de tarifs d'achat. Actuellement, la production d'électricité PV est d'environ 20 TWh dans le pays.

Pour en savoir plus, cliquer ici

* L'illustration montre un parc solaire de 1 MW à San Lazzaro, près de Bologne,composé de panneaux PV 230 Wc d'Upsolar.

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Power-One s'allie à Panasonic pour le stockage de l'énergie solaire

Conversion >Europe>Etats Unis>Stratégie>Accords
25/03/2013 20:01:27 :

Power-One peaufine sa stratégie d'avenir dans la conversion d'énergie et au-delà. Le N°2 mondial sur le marché des onduleurs photovoltaïques, qui vient de passer le cap du million d’onduleurs photovoltaïques vendus dans le monde, s'est en effet allié à Panasonic pour développer, produire et commercialiser des systèmes de stockage d'énergie solaire associant ses onduleurs aux batteries Li-ion du Japonais pour des applications dans le résidentiel comme dans le non résidentiel. Le marché global a été estimé à quelque 11 milliards de dollars en 2020. Parallèlement, les deux firmes s'engagent ensemble sur le marché des onduleurs pour les centrales photovoltaïques de grande taille au Japon, tandis que Power-One continue d'étoffer sa gamme …

« Pour le stockage de l'énergie solaire, l'alliance avec Panasonic est un choix stratégique pour booster les développements car l'avenir du photovoltaïque réside dans l'autoconsommation, notamment en Europe. En France, il n'y a pas (encore) de véritable cadre juridique mais, en Allemagne, ce marché se développera très vite. Des défis technologiques doivent toutefois être surmontés afin de garantir la fiabilité des systèmes, et des choix doivent être faits afin de déterminer les coûts acceptables par le marché », nous a précisé Joseph Maingard, directeur des ventes pour l'Europe du Centre chez Power-One. « Ces développements nécessiteront d'importants investissements, de l'ordre de plusieurs millions de dollars, afin de concevoir des produits pour l'international, avec une adaptabilité par logiciel. Les développements se feront en grande partie en coopération entre les équipes en Italie et aux États-Unis. »

Une expansion rapide sans recourir à la sous-traitance en production
Power-One est une société américaine, avec une très forte présence historique en Europe. Avec une capacité totale installée de plus de 10 GW aujourd'hui, soit environ 12% du marché total après 3,2 GW en 2010, Power-One a franchi une étape majeure. « L'écart avec le leader mondial SMA Solar Technology s'est un peu resserré alors que les autres suiveurs ont été largement distancés. Nous misons sur l'introduction d'un nombre de produits comblant certaines lacunes dans notre offre, comme les onduleurs de chaîne de 6 à 8 kW triphasés sans transformateur d'isolement pour les installations en toiture ou encore les onduleurs centraux de la gamme Ultra, installable en extérieur, qui monte désormais jusqu'à une puissance de sortie de 1,4 MW et une tension à 690Vac », nous a précisé Joseph Maingard. La firme est présente avec une filiale sur l'Hexagone depuis le moratoire sur le photovoltaïque.

Côté production, Power-One a réussi à adapter ses volumes à la demande. La société a pu faire face à une très forte demande en 2010, exacerbée par des pénuries de composants. D'un pronostic à 1 GW en début d'année, elle a clos l'année avec plus de 2 GW, sans recourir à la sous-traitance mais grâce à son propre outil industriel, avec une usine historique en Italie comptant 1300 employés. Aujourd'hui, elle dispose de sites à Shenzhen, en Chine, et aux États-Unis. Sa flexibilité de production est soutenue par du personnel intérimaire et de la formation continue. Son chiffre d'affaires est aujourd'hui encore réalisé essentiellement en Europe. La croissance des marchés asiatiques, et américains, au détriment des marchés historiques comme l'Allemagne ou l'Italie, d'où la nécessité d'une présence accrue dans les pays émergents, illustrée par la mise en place d'une usine en Chine dès 2011 et la signature, aujourd'hui, de l'accord avec Panasonic.

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SOMMAIRE du 26-03-2013
Hebdo précédent
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 PRODUITS & DATASHEETS
Le soleil ne brille plus pour Bosch Solar Energy
Suntech Power dépose le bilan
Bataille solaire Europe-Chine : où l'on joue à qui perd gagne ?
L'Italie viserait 1 GW de puissance PV installée par an à la parité réseau d'ici 2020
Power-One s'allie à Panasonic pour le stockage de l'énergie solaire
 ACCORDS DE DISTRIBUTION
Autoconsommation des bâtiments : le Conseil régional d'Aquitaine lance un appel à projets photovoltaïques
Sunerg Solar étend sa capacité d'assemblage à 100 MW
Collecteurs solaires thermiques : Solmetall reprend le flambeau des produits Schüco
SMA simplifie la surveillance des grandes installations photovoltaïques décentralisées
Et aussi : M-Cells, Singulus Technologies, Yingli Green Energy, Clipsol, Voltec Solar


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